Dans le monde de la royauté britannique, les apparences sont primordiales. Pourtant, derrière les portes closes, il semble que même le prince William, deuxième dans l’ordre de succession au trône, ne soit pas à l’abri d’une crise de colère occasionnelle, ce qui nécessite un traitement maternel de la part de son épouse, Kate Middleton.
Kate a tendance à traiter William comme un enfant supplémentaire, compte tenu de sa propension à piquer des crises, révèle Tom Quinn, un auteur spécialisé dans les questions royales. Il suggère que la relation du couple royal, bien qu’extérieurement idyllique, est ponctuée de temps à autre de discordes.
Leur mariage n’est pas exempt de conflits. Ils s’affrontent assez violemment, révèle Quinn. Mais, contrairement aux couples qui ont recours à la confrontation physique, leurs disputes consistent à se lancer des coussins. Ils parviennent toujours à maintenir un certain décorum.
En adhérant au credo de la famille royale – ne jamais se plaindre, ne jamais s’expliquer – les parents du prince George, du prince Louis et de la princesse Charlotte ont réussi à incarner le principe même qui définit le célèbre règne de la reine Élisabeth II.
Comme William a adopté le comportement de sa grand-mère et que Kate est adepte du silence, ils ont adhéré étroitement à l’éthique qui fait de la reine un monarque remarquable. Leurs plaintes, s’il y en a, sont toujours formulées en termes prudents.
L’auteur royal Robert Jobson a révélé que le tempérament du prince William pouvait s’enflammer lorsqu’il interagissait avec son père, le roi Charles.
William peut être difficile, sa nature motivée se traduisant parfois par de l’impatience et une mèche courte, en particulier lorsqu’il a affaire à Charles, explique Robert Jobson. Charles a lui aussi un tempérament vif, mais ses accès de colère sont passagers. William, quant à lui, a tendance à retenir sa colère.
Dans une révélation choquante dans ses mémoires Spare, le prince Harry a avoué avoir eu une confrontation physique avec son frère aîné, apparemment au sujet de Meghan Markle.
Il a décrit un incident au cours duquel William m’aurait attrapé par le collier, brisant mon collier, et m’aurait fait tomber. Je suis tombée sur la gamelle du chien, des éclats me transperçant le dos. Hébétée, j’ai réussi à me relever et je lui ai dit de partir.
Lors d’un entretien, Harry a laissé entendre que la thérapie l’avait aidé à gérer sa colère et sa frustration refoulées, ce qui lui avait permis de réagir plus calmement à la situation. Sans thérapie pour m’aider à gérer ma colère et ma frustration, je suis certain que je me serais battu, a-t-il déclaré.
Ces informations sur la dynamique interne de la famille royale ont été rapportées par le Mirror.
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