La dernière offre de Netflix, House of Secrets: The Burari Deaths’, est créée par Leena Yadav et offre un aperçu de ce qui s’est passé dans la maison des Bhatia à Burari, en Inde, en 2018. Le spectacle traite d’une enquête sur un cas troublant, explorant les aspects de la santé mentale et la nature sensationnaliste de la couverture médiatique. Les détails de cet incident ont saisi toute la nation alors que les autorités tentaient de faire toute la lumière sur la façon dont onze personnes d’une même famille ont été retrouvées mortes. Alors, découvrons-en plus sur cette affaire, n’est-ce pas?
La Maison des Secrets: The Burari Deaths est-elle une histoire vraie?
Oui, ‘House of Secrets: The Burari Deaths’ est basé sur une histoire vraie. La docusérie en trois parties explore les décès tristement célèbres de Burari. En juillet 2018, la police a été alertée d’un crime qui a stupéfié les habitants de Delhi, en Inde, où se trouve Burari. La famille Bhatia était très respectée dans la communauté, et ce matin-là, elle a été retrouvée morte dans ce qui s’est finalement avéré être une mort rituelle. Onze membres, dont trois générations, ont été retrouvés dans la maison. Ils avaient les yeux bandés et étaient bâillonnés avec du coton dans les oreilles. Certains d’entre eux avaient également les membres liés.
Narayani Devi, la matriarche de la famille Bhatia, a été retrouvée dans la chambre, et il semble qu’elle ait été étranglée à mort. Deux de ses fils et une de ses filles ont également été retrouvés: Bhavnesh, Lalit, et Pratibha. Mais la tragédie ne s’est pas arrêtée là. La femme de Bhavnesh, Savita, et leurs enfants Neetu, Menaka et Dhruv sont morts, ainsi que la femme de Lalit, Tina, leur fils Shivam et la fille de Pratibha, Priyanka. Les dix personnes ont été retrouvées pendues à une grille de fer avec des tabourets autour d’elles. Presque tous leurs membres étaient liés. Leur âge variait entre 15 et 77 ans.
Il n’y avait aucun signe d’effraction, mais les autorités n’ont pas non plus trouvé de lettre de suicide sur les lieux. L’enquête initiale a révélé que la famille possédait un couple d’entreprises à proximité et qu’elle était aimée au sein de la communauté. Bien qu’ils soient religieux, les personnes qui connaissaient la famille Bhatia n’ont rien remarqué d’anormal au cours de la période précédant l’incident. Mais un examen plus approfondi de leur passé a révélé des secrets troublants que la famille détenait. Après le décès de Bhopal Singh, le mari de Narayani, quelque part en 2007, Lalit, le plus jeune fils, a été profondément affecté.
Lalit était devenu assez introverti et s’est tourné vers la spiritualité. Il offrait des prières aux arbres et a fini par dire à sa famille que l’âme de son père lui rendait visite. Selon Lalit, Bhopal lui a donné des instructions sur la façon de mener une meilleure vie. Bhopal lui avait également dit de vénérer un arbre banian pour que la famille se porte bien. Une fois que la famille religieuse a commencé à bien se porter financièrement, ils ont cru que ce que Lalit leur avait dit était vrai. Les autorités ont également trouvé 11 journaux intimes qui leur ont donné plus d’informations sur la famille. Ces journaux contenaient des règles que les membres de la famille devaient suivre. On y trouvait des détails minutieux, incluant même leurs activités banales.
De plus, les images de sécurité ont montré qu’aucune personne extérieure n’était impliquée dans la mort. Dans les jours précédant l’incident, certains membres de la famille ont été vus transportant des tabourets et des fils dans la maison. Ils ont été utilisés plus tard dans les décès. Les écrits dans les journaux intimes mentionnent également un rituel et ont conduit les autorités à penser que la famille ne pensait pas qu’elle allait mourir. Il s’agissait d’une cérémonie d’action de grâce qui durait sept jours et se terminait par la pendaison. Cependant, la famille croyait qu’elle allait être sauvée.
La famille espérait également effectuer le rituel encore une fois pour un autre membre de la famille faisant face à quelques problèmes. Les notes mentionnaient également qu’ils s’entraînaient à se bander les yeux, à se lier les membres et à se passer un nœud coulant autour du cou. Au final, la police a estimé qu’il s’agissait peut-être d’un cas de psychose partagée, les croyances de Lalit ayant été transmises à la famille, ce qui a finalement conduit aux décès.
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