Une action en justice a été intentée pour demander la divulgation des documents relatifs au visa américain du prince Harry, après que le duc de Sussex a admis avoir consommé de la drogue dans ses mémoires explosives, Spare. La Heritage Foundation, un groupe de réflexion basé à Washington, a intenté une action en justice contre le ministère américain de la sécurité intérieure, ce qui a conduit à un examen plus approfondi du visa du prince Harry.
En règle générale, l’admission d’une consommation de drogue dans une demande de visa américain est un motif d’irrecevabilité. Le prince Harry a déjà reconnu avoir consommé de la cocaïne, des champignons et d’autres drogues. Ce développement intervient après qu’il a quitté le Royaume-Uni pour établir une vie en Californie avec son épouse américaine, Meghan Markle.
Le récent dépôt au tribunal stipule ce qui suit: Une couverture médiatique étendue et continue a fait surface sur la question de savoir si le DHS a correctement admis le duc de Sussex à la lumière du fait qu’il a publiquement admis les éléments essentiels d’un certain nombre d’infractions liées à la drogue à la fois aux États-Unis et à l’étranger. La législation américaine interdit généralement à une telle personne d’entrer sur le territoire des États-Unis.
Le dossier continue de poser la question de savoir si le ministère de la sécurité intérieure (DHS) n’a pas accordé au prince Harry une dérogation lui permettant d’entrer dans le pays avec un visa de non-immigrant en raison de ses antécédents en matière d’infractions liées à la drogue.
La question se pose également de savoir si le DHS devrait reconsidérer sa décision d’admettre le prince Harry aux États-Unis à la lumière des révélations les plus récentes sur sa consommation de drogue, tant au niveau national qu’international, telles qu’elles sont détaillées dans ses mémoires de 2023, Spare.